Le titre de cette œuvre est un jeu de mot entre penseur et le néologisme "panseur" et le nom de la forêt de Soignes, panser pouvant être une façon de soigner.

Cette peinture fait partie de la série "magnificence des arbres" où l'homme est ici en méditation, poser sur un banc. Il s'arrête, il pense et soigne les plaies du monde en pensée. Devant lui, une masse d'eau, inspirée des étangs de l'abbaye de Soignes, noire comme le pétrole que l'homme utilise et qui lui 'permet' de détruire la biosphère. Ici, l'homme n'intervient pas, le pétrole n'est qu'une surface noire inoffensive. Les arbres sont luxuriants et veillent sur le méditant.

Envoyé roulé dans un tube pour assurer la bonne conservation de votre acquisition lors de son transport et limiter le surcoût très élevé des transporteurs pour des colis grands et lourds.

Ajouté le 28 nov. 2017

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